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http://www.multiup.org/download/e9be301 ... ae/MMs.rar
Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Et pendant ce temps là, papon, libre jubile
l'état n'est pas ingrat quand on lui est servile
Chassant négligemment d’un revers de la main
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Chéri-Bibi
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Mais c'est où je clique?
IN GIRUM IMUS NOCTE ET CONSUMIMUR IGNI
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Sur télécharger. Ca ouvre une autre fenêtre et tu choisis ton miroir de télécharggement. Choisis 1fichier.com, et en bas de la nouvelle page, sur download.Chéri-Bibi a écrit :Mais c'est où je clique?
Et pendant ce temps là, papon, libre jubile
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Chéri-Bibi
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Bon ben j'ai réussi à le télécharger, mais VLC veut pas le lire (.rar)... 
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
bin voui, c'est un fichier compressé, faut l'extraire. Clic droit/extraire
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Chéri-Bibi
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
J'ai pas "extraire" dans mon clic droit... Eh, j'suis sur Mac moé.
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Chéri-Bibi
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Wesh, j'ai téléchargé un logiciel (UnRaR truc) et ça marche!
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Il est pas mal ce doc.
Vu aussi "Les 7 magnifiques", film hong-kongais mais avec tellement d'emprunts qu'il serait presque italien.
Vu aussi "Les 7 magnifiques", film hong-kongais mais avec tellement d'emprunts qu'il serait presque italien.
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Les Clash, le groupe punk qui jouait à guichets fermés dans les années 1980, était en train de se désintégrer quand son leader charismatique, Joe Strummer, hantait incognito les bars en Espagne, comme le montre un nouveau documentaire.
Le cinéaste Nick Hall a suivi le séjour espagnol de plusieurs mois de la légende du punk, dans un documentaire présenté samedi en avant-première à New York, où se déroule le troisième festival CBGB.
Ce festival, du nom d'un club punk célèbre et aujourd'hui disparu, propose une dizaine de films et quelque 200 concerts culminant dans un concert gratuit dimanche sur Times Square.
Selon Nick Hall, Joe Strummer s'est rendu en Espagne attiré par la Movida, ce mouvement de contre-culture qui a suivi la mort du dictateur Francisco Franco en 1975.
Il y a séjourné à plusieurs reprises et a même cherché à découvrir la tombe du poète Federico Garcia Lorca, assassiné sous la dictature en Andalousie.
Le documentaire reprend l'extrait d'un entretien accordé à un journaliste local, dans lequel le musicien explique dans un espagnol rudimentaire qu'il est venu en Espagne pour "muchas razones" ("pour de nombreuses raisons"). "Je suis obsédé par l'Andalousie", dit-il.
Strummer, qui avait découvert l'Espagne par l'intermédiaire d'une petite amie espagnole, trouvait alors "déprimante" l'ambiance au Royaume-Uni, où la conservatrice Margaret Thatcher venait de rempiler comme Premier ministre.
- Une histoire de Dodge -
Le film s'appelle "J'ai besoin d'une Dodge: Joe Strummer en cavale". ("I need a Dodge: Joe Strummer on the run").
Le titre vient d'une anecdote survenue quelques années avant la mort du chanteur en 2002. Interrogé par la radio espagnole Radio 3 lors du festival britannique de musique de Glastonbury, Strummer demande à plusieurs reprises si quelqu'un a vu sa voiture, un véhicule de la marque américaine Dodge.
Des membres du groupe Radio Futura, un groupe espagnol très célèbre à l'époque, racontent dans le film que Strummer avait demandé leur aide pour en acheter une.
Le film part donc à la recherche de la Dodge, que Strummer a apparemment laissé dans un garage espagnol avant de rentrer brusquement en Angleterre en janvier 1986 quand sa petite amie d'alors, Gaby Salter, a donné naissance à leur seconde fille.
Pendant son séjour espagnol, Strummer avait produit un album du groupe 091 appelé "Mas de Cien Lobos" ("Plus de 100 loups") sous un label espagnol.
Après des pétitions de fans, la ville de Grenade, dans le sud de l'Espagne, a donné l'an dernier le nom du leader des Clash à l'une de ses places.
Nick Hall a passé quatre ans à travailler sur son documentaire, qu'il a composé comme il l'aurait fait d'une fiction, dit-il. "J'avais dans l'idée l'histoire d'un chanteur anglais qui ressemblerait à ces voyageurs du XIXe siècle", raconte le cinéaste.
Le cinéaste Nick Hall a suivi le séjour espagnol de plusieurs mois de la légende du punk, dans un documentaire présenté samedi en avant-première à New York, où se déroule le troisième festival CBGB.
Ce festival, du nom d'un club punk célèbre et aujourd'hui disparu, propose une dizaine de films et quelque 200 concerts culminant dans un concert gratuit dimanche sur Times Square.
Selon Nick Hall, Joe Strummer s'est rendu en Espagne attiré par la Movida, ce mouvement de contre-culture qui a suivi la mort du dictateur Francisco Franco en 1975.
Il y a séjourné à plusieurs reprises et a même cherché à découvrir la tombe du poète Federico Garcia Lorca, assassiné sous la dictature en Andalousie.
Le documentaire reprend l'extrait d'un entretien accordé à un journaliste local, dans lequel le musicien explique dans un espagnol rudimentaire qu'il est venu en Espagne pour "muchas razones" ("pour de nombreuses raisons"). "Je suis obsédé par l'Andalousie", dit-il.
Strummer, qui avait découvert l'Espagne par l'intermédiaire d'une petite amie espagnole, trouvait alors "déprimante" l'ambiance au Royaume-Uni, où la conservatrice Margaret Thatcher venait de rempiler comme Premier ministre.
- Une histoire de Dodge -
Le film s'appelle "J'ai besoin d'une Dodge: Joe Strummer en cavale". ("I need a Dodge: Joe Strummer on the run").
Le titre vient d'une anecdote survenue quelques années avant la mort du chanteur en 2002. Interrogé par la radio espagnole Radio 3 lors du festival britannique de musique de Glastonbury, Strummer demande à plusieurs reprises si quelqu'un a vu sa voiture, un véhicule de la marque américaine Dodge.
Des membres du groupe Radio Futura, un groupe espagnol très célèbre à l'époque, racontent dans le film que Strummer avait demandé leur aide pour en acheter une.
Le film part donc à la recherche de la Dodge, que Strummer a apparemment laissé dans un garage espagnol avant de rentrer brusquement en Angleterre en janvier 1986 quand sa petite amie d'alors, Gaby Salter, a donné naissance à leur seconde fille.
Pendant son séjour espagnol, Strummer avait produit un album du groupe 091 appelé "Mas de Cien Lobos" ("Plus de 100 loups") sous un label espagnol.
Après des pétitions de fans, la ville de Grenade, dans le sud de l'Espagne, a donné l'an dernier le nom du leader des Clash à l'une de ses places.
Nick Hall a passé quatre ans à travailler sur son documentaire, qu'il a composé comme il l'aurait fait d'une fiction, dit-il. "J'avais dans l'idée l'histoire d'un chanteur anglais qui ressemblerait à ces voyageurs du XIXe siècle", raconte le cinéaste.
Et pendant ce temps là, papon, libre jubile
l'état n'est pas ingrat quand on lui est servile
Chassant négligemment d’un revers de la main
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
"La bande à Bonnot", avec Bruno Cremer en Bonnot, Jacques Brel en Raymond la science, Annie Girardot est Marie la belge. Un film de 1968.
Une scène saisissante à la fin du film, lors de l'assaut. Les bonnes gens applaudissent la flicaille qui amène la mitrailleuse, ça rappelle vaguement quelque chose de récent.
"Les gardiens de la galaxie" Et bien agréablement surpris par ce "blockbuster" ricain. Rythmé, drôle, un bon moment.
"Le nécrophile" Un court métrage français assez particulier, vous le trouverez facilement sur youtube, dailymotion ou chez le canard mort pour les connaisseurs. Film étrange et poétique.
"Lust of the dead" film de zombi japonais. Cette fois les morts vivants ne veulent pas de cervelles. Seuls les hommes sont contaminés et ils veulent violer les femmes. Celles ci ne se transforment que s'ils éjaculent. Par un autre réalisateur ou trice, ç'aurait pu être un brûlot féministe, ce n'est qu'une niaiserie. Mais je regarde le 2 cet aprème.
"Mangue negro" des zombis brésiliens cette fois, et perdus dans la mangrove. Pas mal, éxotique.
"The returned" encore des zombies. Un vaccin est trouvé, il ne guérit pas la maladie mais la met en veilleuse. Des infectés vivent normalement jusqu'au jour où la production du sérum est à l'arrêt. Vraiment bien.
"Poultrygeist, the night of chicken dead" un film de la firm troma, un fast food construit sur un cimetière indien...Lors de la manifestation on peut voir sur différents panneaux des manifestants, écrit : « Libérez José Bové », « Fuck Tibet », « Free the chickens », « Punk is not dead ».
"Ché (quoi)", film de Polanski, son seul film italien avec Marcelo Mastroiani et Sydne Rome.
"Tusk" un ancien marin naufragé a visiblement eu une relation particulière avec un morse lors de soin naufrage. Revenu sur terre... Johnny Depp en inspecteur québecois.
"Alienator", nanar olympique, je n'en dis pas plus.
"Black Mirror" épisode spécial noel. Vraiment bien, dans la continuité des saisons précédentes.
Une scène saisissante à la fin du film, lors de l'assaut. Les bonnes gens applaudissent la flicaille qui amène la mitrailleuse, ça rappelle vaguement quelque chose de récent.
"Les gardiens de la galaxie" Et bien agréablement surpris par ce "blockbuster" ricain. Rythmé, drôle, un bon moment.
"Le nécrophile" Un court métrage français assez particulier, vous le trouverez facilement sur youtube, dailymotion ou chez le canard mort pour les connaisseurs. Film étrange et poétique.
"Lust of the dead" film de zombi japonais. Cette fois les morts vivants ne veulent pas de cervelles. Seuls les hommes sont contaminés et ils veulent violer les femmes. Celles ci ne se transforment que s'ils éjaculent. Par un autre réalisateur ou trice, ç'aurait pu être un brûlot féministe, ce n'est qu'une niaiserie. Mais je regarde le 2 cet aprème.
"Mangue negro" des zombis brésiliens cette fois, et perdus dans la mangrove. Pas mal, éxotique.
"The returned" encore des zombies. Un vaccin est trouvé, il ne guérit pas la maladie mais la met en veilleuse. Des infectés vivent normalement jusqu'au jour où la production du sérum est à l'arrêt. Vraiment bien.
"Poultrygeist, the night of chicken dead" un film de la firm troma, un fast food construit sur un cimetière indien...Lors de la manifestation on peut voir sur différents panneaux des manifestants, écrit : « Libérez José Bové », « Fuck Tibet », « Free the chickens », « Punk is not dead ».
"Ché (quoi)", film de Polanski, son seul film italien avec Marcelo Mastroiani et Sydne Rome.
"Tusk" un ancien marin naufragé a visiblement eu une relation particulière avec un morse lors de soin naufrage. Revenu sur terre... Johnny Depp en inspecteur québecois.
"Alienator", nanar olympique, je n'en dis pas plus.
"Black Mirror" épisode spécial noel. Vraiment bien, dans la continuité des saisons précédentes.
Et pendant ce temps là, papon, libre jubile
l'état n'est pas ingrat quand on lui est servile
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