Punxforum.net

oi oi
il est né le divin enfant, j'aurai mes 100 exemplaires vendredi.
40 pages A4 , 5 textes : LE TERRORISTE ( ... déboires avec la police locale ... déjà paru dans l'AMIRAL 1 mais revu) , MERAPI 2010 (... une éruption volcanique vue et décrite de très très près ... idem, mais version vraiment améliorée !!), EN AMONT DU KAHAYAN (virée chez les Dayaks ... Un hommage au mouvement straight edge ... hic ! ... inédit) , TITANIC RESTO ( Un texte Sarkozyste qui relate mes déboires de jeune entrepreneur super dynamique ... inédit), BLOODSPORT ( Un récit qui bastonne ... inédit) ...
Vu que je dépasse les 100g et que j'ai changé d'imprimeur il sera un peu plus cher que d'habitude : 3,5 PC en chèques ou timbres ou échanges ou cadeaux (me contacter) ( que celles et ceux qui m'ont envoyé des trucs quand j'étais en Asie ou depuis mon retour en Normandie patientent : j'enverrai les exemplaires gratos la semaine prochaine ! )
Je mettrai une annonce plus explicite après-demain ou ce Week-end mais vous pouvez d'ores et déjà m'écrire : PM ou mail à lamiralbragueton @ yahoo . com
Ah oui , dernière précision : le PDF est dispo mais uniquement sur demande , par contre , contrairement aux PDFs de l'AMIRAL ce n'est pas un PDF adapté à la lecture à l'écran (colonnes!!) ...
Voilà voilà

Cool!!!

Voilà, une photo du divin enfant en question :



J'ai donc les copies mais comme prévu je ne commencerai pas les envois avant lundi !
Extraits choisis ...

Le Terroriste
" cet abruti racontait à qui voulait bien l'entendre [...] que si j'avais été innocenté j'avais tout de même subi un interrogatoire serré à l'aéroport de Jakarta. Il ajoutait aussi je ne sais plus quelles fadaises que sa belle-mère, une marchande de volailles d'une inintelligence phénoménale, se faisait un plaisir de colporter. "

Merapi 2010
"Dans tout le quartier des gens se mirent à hurler et je réalisai que la cause de ces sensations n'était pas un employé particulièrement obèse, ni même un mastodonte échappé d'on ne sait quelle jungle lointaine mais un puissant tremblement de terre ! Dans les souvenirs que je conserve de cet instant surréaliste le vacarme était effroyable, mais impossible de dire si celui-ci était dû à la débandade généralisée des habitants du quartier, à la secousse elle-même ou à mon imagination..."

En Amont du Kahayan
" La jeune chamane récupéra le micro et me demanda quelle allait être ma contribution à cette fête : une chanson ou... une danse? L'idée d'exécuter une danse en solo, sans musique et devant au moins cinquante personnes m'étant insupportable, j'optai pour le chant, puis me ravisai et protestai en arguant que je n'étais pas capable de chanter, que j'allais casser les oreilles à toute le monde, provoquer une averse voire une catastrophe. Mais mes tentatives de me tirer de ce faux pas en plaisantant laissèrent l'assistance de marbre. Je n'avais guère le choix. Je m'exécutai donc et fredonnai quelques couplets d'une chanson indonésienne bien connue. "

Titanic Resto
" En réalité, les connaissances d'Erlambang en économie étaient encore plus limitées que les nôtres. Notre nouvel employé rentra harassé de sa première journée de prospection et claironna qu'il avait découvert les vraies raisons de notre manque de succès: celles-ci n'avaient rien à voir avec notre méconnaissance de l'astrologie, comme le suggérait Purnomo, mais avec le fait que d'innombrables concurrents nous avaient ensorcelé ! Erlambang avait alors décidé de son propre chef d'accomplir, devant chacun des restaurants et des magasins concernés, un rituel destiné à retourner contre nos assaillants ces attaques magiques dont nous étions la cible. Son épouse nous assura toute fière, en levant le pouce et en souriant de toutes ses vieilles dents jaunâtres, que son homme était un expert en la matière..."

Bloodsport
" A trente-six ans, la prestigieuse carrière de Sigit était terminée depuis plusieurs années. La perspective de livrer cet énième combat n'avait donc que très modérément bouleversé son quotidien : il s'était à peine entraîné et n'avait même pas diminué sa consommation de cigarettes. Par chance, il fut opposé à un jeune boxeur certes tout en muscles mais visiblement peu expérimenté. Touché par un terrible punch à la mâchoire, le malheureux jeune homme s'effondra dès le premier round. A vaincre sans péril on triomphe sans gloire : Sigit quitta l'arène sans en faire des tonnes. "

oi oi
Les exemplaires gratos et les 2/3 échanges sont partis ce matin!!
Manifestez-vous si vous pensez avoir été oublié(e)s !

kolonel muller a écrit : Ah oui , dernière précision : le PDF est dispo mais uniquement sur demande , par contre , contrairement aux PDFs de l'AMIRAL ce n'est pas un PDF adapté à la lecture à l'écran (colonnes!!) ...
Voilà voilà

Suite à un PM d'un lecteur ayant mal compris cette annonce il est vrai peu claire : les fanzines ne seront pas imprimés à la demande, j'en ai encore 80 chez moi, imprimés, reliés, tout beaux, tout chauds ... Ce qui est disponible à la demande, c'est à dire qu'il faut, pour l'obtenir, m'envoyer un petit message, c'est le fichier PDF, le fichier informatique ! ça c'est une nouveauté puisque les trois derniers numéros de l'AMIRAL étaient en téléchargement libre ... Voilà, est-ce plus clair maintenant ?

Hello mr good-body !
Je sais pas pour les autres lecteurs , mais moi , je n'ai encore rien reçu .

lundi je suis sûr que ça va arriver ! Et puis toi tu as 2 paquets en plus !

Cool , un double cadeau !
je me suis pointé à la boîte aux lettres ce matin ... comme un naze , j'avais zappé qu'on était Dimanche ;
J'espere que t'as raison et que c'est pour demain . T'inquietes , j'te préviens dès réception .
Bon allez , bonne soirée tout le monde ; moi , je vais me coucher ; bonne nuit ...

Enchanté à l'idée d'avoir reçu un collector, ma lecture de ce nouveau fort gono a commencé dès sa réception. Bien évidemment, le format A4 du numéro ne me permettait pas de transporter l'objet doué d'un potentiel monétaire énorme dans un endroit aussi minable que le métro toulousain. - Il faut savoir que le métro est un lieu privilégié pour mes lectures quotidiennes - Aussi je décidais de laisser les feuillets à domicile et je prenais un plaisir voluptueux à déguster chaque page entre chaque métro (celui du boulot et celui du dodo).
Les récits sont nettement plus long que dans les numéros précédents, ils coupent avec cette sensation irréelle de découvrir un nouveau monde à chaque récit. Néanmoins, ils s'offrent le luxe de présenter un déroulement plus proche du roman et et permettent d'installer une ambiance et un climat picaresque. Peut-être habitué par les précédentes tribulations du héros, étais-je moins impressionné par ses aventures - notre gaillard s'offre le loisir de glandouiller trois jours tout seul dans un village paumé avec une gueule de bois appuyé avant de rentrer à la maison, quoi de plus palpitant ! - et pourtant la fluidité de l'écriture et le sens de la situation m'a tenu en haleine comme durant la lecture de mes premiers fort gono. Comment la situation va évoluer ? la question se pose à chaque ligne et laisse suffisamment d'incertitude pour faire gigoter la flamme délicieuse de l'envie de lire. L'écriture s'est affirmé, sans nul doute, et mon plaisir s'en trouve sans cesse renouvelé. Je voudrais trouver un prochain fort gono qui ne soit qu'une seule histoire du début jusqu'à la fin. Voir, j'attendrai avec bonheur un fort gono de 400 pages, qui me prendrait des heures de lecture. Seul bémol à ce désir, le talent déployé pour clôturer les histoires, talent digne d'un nouvelliste émérite, pourrait s'en trouver ébréché... On ne peut pas tout avoir... C'est pour quand la suite ?

hey kolonel,
je suis pas en france, y a moyen d'avoir le pdf, si'vous plait?