
Que du bonheur!

Avant de faire des films de kung-fu -même pour qu'ils soient détournés par les situs- il faut faire passer des auditions aux acteurs.Webster a écrit :Un classique
http://www.dailymotion.com/video/k709d5Rk8CGLLQ379N" onclick="window.open(this.href);return false;" onclick="window.open(this.href);return false;" onclick="window.open(this.href);return false;
Tofu is a friendly zombie, created from a botched laboratory experiment. If Tofu loses his tofu-brain, he turns into a dangerous zombie creature, craving human flesh! This 7ï¾” PVC collectible toy with removable tofu brain has 5 points of articulation. Tofu comes on a removable base and will be your best friend until he loses his tofu brain! Tofu is a friendly zombie, created from a botched experiment in Professor Vost's laboratory. Monkey # 5, one of Vost's lab animals, stuffed a block of tofu into the zombie boy's open skull after accidentally losing the brain. As a result, Tofu eats only vegetables and grains and has no taste for human meat. However, if Tofu ever loses his "tofu-brain", he turns into a dangerous zombie creature, craving human flesh.
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... r=RSS-3208" onclick="window.open(this.href);return false;le monde de merde a écrit :Otage des FARC pendant plus de six ans, Ingrid Betancourt incarne l'héroïsme et le courage. Mais un livre, sorti mardi 24 février aux Etats-Unis, donne une autre image de la femme politique franco-colombienne. Trois Américains, ex-otages des FARC, relatent dans un livre, Hors de captivité, survivre 1 967 jours dans la jungle colombienne, les relations souvent tendues avec leur ancienne compagne de détention.
Marc Gonsalves, Tom Howes et Keith Stansell menaient une opération anti-drogue pour le compte de l'armée américaine via la société Northrop Grumman Corp., lorsque leur avion s'est écrasé en février 2003. Ils ont alors été faits prisonniers. En plus de 450 pages, ils racontent leurs conditions de vie dans le campement des FARC et dressent un portrait peu élogieux d'Ingrid Betancourt.
Keith Stansell la décrit comme hautaine et égoïste et affirme qu'elle volait de la nourriture, monopolisait les rares livres disponibles, gardait une radio en cachette (alors que les guérilleros avaient confisqué celles des autres prisonniers) et refusait de partager les informations qu'elle entendait. Elle aurait même mis leur vie en danger en disant aux guérilleros que les trois hommes étaient des agents de la CIA.
Dans d'autres passages du livre, Marc Gonsalves et Tom Howes donnent une vision plus "tendre" de l'ancienne otage. "Parfois elle n'était pas la personne que nous pensions. Parfois Ingrid était une personne beaucoup plus compliquée et multi-dimensionnelle que ce dont nous nous étions convaincus", disent-ils.
L'intéressée, comme ses proches, se sont refusés à tout commentaire sur le contenu de cet ouvrage.
Doctor Louarn a écrit :Je savias pas trop si il fallait le mettre là ou sur le topic cinéma:
http://www.cnt-f.org/spip.php?article698" onclick="window.open(this.href);return false;" onclick="window.open(this.href);return false;
Si quelqu'un a moy de chopper une version de meilleure qualité?
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La France garde son «trésor»
Les archives de Guy Debord n'iront pas en Amérique
Par BibliObs.com
Les archives de l'écrivain et philosophe situationniste Guy Debord devaient quitter la France pour l'Université américaine de Yale qui souhaitait les acquérir. L'Etat français en a décidé autrement: ce fonds, classé «trésor national» par le ministère de la Culture et de la Communication, va rejoindre la BNF, qui se chargera de le mettre en valeur.
Ce fonds comprend la quasi-intégralité des archives de Debord (1931-1994), notamment le manuscrit de «La Société du spectacle» (1967), l'un des textes fondateurs de l'Internationale situationniste, qui prône une critique radicale du mode de société occidental.
L'ensemble, classé et trié par Guy Debord avant son suicide en 1994, puis par sa veuve, Alice Debord, faisait l'objet d'une demande d'exportation vers les Etats-Unis, où l'Université de Yale, qui possède déjà un centre de recherche sur les avant-gardes, souhaitait s'en porter acquéreur.
Interrogé par «Libération», le libraire Benoît Forgeot, qui a inventorié ce fonds, précisait qu'Alice Debord souhaitait avant tout que l'ensemble des documents «soit conservé en un seul lieu, à la disposition des chercheurs, que ces archives soient montrées, confrontées». La proposition de Yale lui semblait répondre à ces impératifs.
Saisie par le ministère de la Culture, la Commission consultative des trésors nationaux a rendu un avis négatif à l'exportation, considérant que «cet ensemble s'avère unique pour l'étude de la genèse de l'œuvre de Guy Debord, l'un des penseurs contemporains les plus importants et capital dans l'histoire des idées de la seconde moitié du XXe siècle».
Avis suivi par le ministère qui a refusé le certificat d'exportation par arrêté du 29 janvier, publié au Journal officiel du 12 février.
L'Etat dispose à présent d'un délai de trente mois pour parvenir à un accord avec Alice Debord, détentrice des droits moraux du philosophe, pour acquérir le fonds. Après accord, les archives seront considérées comme trésor national de manière pérenne et devraient rejoindre le département des manuscrits de la Bibliothèque nationale (BNF).
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