un p'tit jeu
Re: un p'tit jeu
bonne question
"Nous considérons les fins inséparables des moyens, parce que les méthodes de lutte laissent déjà entrevoir la vie pour laquelle nous nous battons".
Re: un p'tit jeu
non non ce morceau me gène pas. Je trouvais marrant de citer cette phrase "hors du contexte", cette phrase pour moi prend tout son sens "dans son contexte"...Donc faut les laisser faire ? Y a pas que les reds dans la vie, qu'aiment pas les fefas...
En plus si melvin tu l'a mise c'est bien qu'elle te gênait quelque part non ?
Après je n'ai pas découvert que CRASS sont des pacifistes aujourd'hui...
quel pôète ce soi, une facette que je ne connaissais pas, je connaissais soi le gamer, soi le rapper, soi la grande saucisse, soi le poivrot, soi le foncedé, soi le malade, mais soi le poète non... :-)Du fleuve emportant tout on dit qu’il est violent, mais on ne dit jamais rien de la violence des rives qui l’enserrent
Hey, professor! I recognize these teeth. This is Felipe Ocanya. He knew the jungle as well as I do
Re: un p'tit jeu
pourtant ...melvin a écrit :quel pôète ce soi, une facette que je ne connaissais pas, je connaissais soi le gamer, soi le rapper, soi la grande saucisse, soi le poivrot, soi le foncedé, soi le malade, mais soi le poète non... :-)Du fleuve emportant tout on dit qu’il est violent, mais on ne dit jamais rien de la violence des rives qui l’enserrent
et t'as pas tout vu
on commence comme ça, et on finit par plus aller à la synagogue
Re: un p'tit jeu
Brecht non?soï a écrit :Du fleuve emportant tout on dit qu’il est violent, mais on ne dit jamais rien de la violence des rives qui l’enserrent
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Re: un p'tit jeu
Gero, Chanteur de l'Infanterie, en 1986, à propos de la Loire.Du fleuve emportant tout on dit qu’il est violent, mais on ne dit jamais rien de la violence des rives qui l’enserrent
Une citation régulièrement attribuée depuis, par erreur, à Jeff Buckley.
Re: un p'tit jeu
Quelle idée de se baigner en docs/santiags aussi...
Bon alors j'ai pas su choisir entre deux:
la première : "quelle arme est aussi tranchante, aussi pénétrante, dans son mouvement aussi luisante et, grâce à cela, aussi décevante qu'un regard ? "
et l'autre, dans un tout autre genre, maladroitement traduite par mes soins, "Vous pouviez faire des étincelles partout. Il y avait un sens, fantastique et universel, que peu importe ce que l'on faisait était juste, que nous étions en train de gagner. Et ça, je pense, c'était la poignée(?), ce sens de l'inévitable victoire sur les forces du Vieux et du Mal. En aucune façon militairement parlant; nous n'avions pas besoin de ça. Notre énergie allait simplement prédominer. Il était inutile de combattre, de notre coté ou du leur. Nous avions tout l'élan, nous chevauchions la crête d'une haute et belle vague..."
Je mets pas la suite sinon c'est trop facile...

Bon alors j'ai pas su choisir entre deux:
la première : "quelle arme est aussi tranchante, aussi pénétrante, dans son mouvement aussi luisante et, grâce à cela, aussi décevante qu'un regard ? "
et l'autre, dans un tout autre genre, maladroitement traduite par mes soins, "Vous pouviez faire des étincelles partout. Il y avait un sens, fantastique et universel, que peu importe ce que l'on faisait était juste, que nous étions en train de gagner. Et ça, je pense, c'était la poignée(?), ce sens de l'inévitable victoire sur les forces du Vieux et du Mal. En aucune façon militairement parlant; nous n'avions pas besoin de ça. Notre énergie allait simplement prédominer. Il était inutile de combattre, de notre coté ou du leur. Nous avions tout l'élan, nous chevauchions la crête d'une haute et belle vague..."
Je mets pas la suite sinon c'est trop facile...
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Re: un p'tit jeu
Moi ça me rappelle un texte italien d'il y a quelques années, cité par cette semaine : «les lucioles, on les voit parce qu’elles volent la nuit. Les anarchistes font de la lumière aux yeux de la répression parce que la société est grise comme la pacification. Le problème, ce n’est pas la luciole, mais bien la nuit»Yanic a écrit :Gero, Chanteur de l'Infanterie, en 1986, à propos de la Loire.Du fleuve emportant tout on dit qu’il est violent, mais on ne dit jamais rien de la violence des rives qui l’enserrent
Une citation régulièrement attribuée depuis, par erreur, à Jeff Buckley.
"Nous considérons les fins inséparables des moyens, parce que les méthodes de lutte laissent déjà entrevoir la vie pour laquelle nous nous battons".
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