Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Arf, je l'ai loué et maté au projecteur y a un mois ou deux, j'ai trouvé ça très mauvais, surjoué, sous monté,ça se la pète "cinéma d'auteur qui fait des plans sequences d'inceste pour être déroutant avec naturel". Oui. On dirait du François Ozon dans ses pires errances. c'est dire.
très déçu par ce truc, duquel j'attendais un petit peu plus qu'une branlette pénible...
très déçu par ce truc, duquel j'attendais un petit peu plus qu'une branlette pénible...
http://bimbokillers.free.fr/
http://www.meme-pas-mal.fr/accueil.html
http://aaarg-je-meurs.blogspot.com/
Il nous faut un plus gros bateau !
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
ces derniers temps :
THE SADDEST MUSIC IN THE WORLD (guy maddin, 2003)
A BITTERSWEET LIFE, par le coréen responsable de LE BON, LA BRUTE ET LE CINGLÉ. et bien rien à voir avec le jouissif western, là on se fait chier sec dans cette histoire de yakusa amoureux à laquelle on ne croit pas une seconde. ça dure, ça dure, en plus...
HI, MOM (de palma, 1969).
un des premiers rôles de de niro dans ce film qui enchaine plusieurs sketches. au début, le personnage principal s'essaie à la pornographie amateur en filmant ses voisins, mais bientôt, le film prend d'autres directions. à noter, la scène culte où des militant noirs font faire du théatre à des blancs : BE BLACK BABY. au menu tabassage, insultes, grosse mise en scène oppressive, pour apprendre ce que c'est d'être noir!!
KICK ASS : ouais, c'est marrant à voir bourré. je vais matter DEFENDOR sur les conseils de melvin.
THE SADDEST MUSIC IN THE WORLD (guy maddin, 2003)
putain, la grosse claque!! un univers noir et blanc cottoneux, surréaliste à mort, et plein d'humour. je connaissais pas ce réalisateur canadien, qui a apparement pas mal de bons films au compteur!! malheureusement j'arrive pas à pécho ses autres en vost... si quelqu'un a des tuyaux.... melvin? starsky? krank?allociné a écrit :Winnipeg, au Canada, en 1933, au coeur de la Grande Dépression. Lady Port-Huntly, baronesse locale de la bière, bien décidée à profiter de la fin proche de la Prohibition, lance le concours de la musique la plus triste du monde.
Des candidats du monde entier affluent vers la ville enneigée et glaciale. Attiré par le prix de 25 000 $, chacun tente d'interpréter à sa manière la plus profonde tristesse au cours d'une compétition euphorique, largement arrosé à la bière locale, la Muskeg, et suivie à la radio par des américains qui ont soif.
A BITTERSWEET LIFE, par le coréen responsable de LE BON, LA BRUTE ET LE CINGLÉ. et bien rien à voir avec le jouissif western, là on se fait chier sec dans cette histoire de yakusa amoureux à laquelle on ne croit pas une seconde. ça dure, ça dure, en plus...
HI, MOM (de palma, 1969).
un des premiers rôles de de niro dans ce film qui enchaine plusieurs sketches. au début, le personnage principal s'essaie à la pornographie amateur en filmant ses voisins, mais bientôt, le film prend d'autres directions. à noter, la scène culte où des militant noirs font faire du théatre à des blancs : BE BLACK BABY. au menu tabassage, insultes, grosse mise en scène oppressive, pour apprendre ce que c'est d'être noir!!
KICK ASS : ouais, c'est marrant à voir bourré. je vais matter DEFENDOR sur les conseils de melvin.
hein?
- melvinjunko
- pilier de bar
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- Enregistré le : 19 mai 2009 14:12
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Aaah ça fait un moment que je l'ai DL celui là et je l'ai toujours pas vu, je vais réparer cet affront ce soir alors !
Sinon j'ai cherché ses autres films, mais pour l'instant j'ai rien trouvé. Il y a un coffret DVD avec quelques uns de ses longs, mais il est hors de prix. Un pote qui l'a m'a dit que l'investissement était quand même pas mal vu qu'avec les films t'as des docs qui te remettent les trucs dans le contexte et te file des pistes, son cinéma expérimental n'étant pas toujours des plus clairs.
Pour l'instant j'en ai vu qu'un, c'est DES TROUS DANS LA TETE, avec Giole, et on avait pris une sacrée claque au cinéma !
Il faut lancer un Guy Maddin contest dont le but est de pécho le plus de films et de st fr !
Pour le coup je colle sa race ici, il a l'air tellement affable

Sinon ces derniers jours j'ai vu :
L'AGENCE TOUT RISQUE
Eh ben c'était complètement nul. Entre l'histoire toute pourrie et le cast tout nul, les scènes d'action réussissent l'exploit d'être mal branlées et donnent l'impression d'un budget famélique. Alors que ce soit aussi très con, très patriote et très redneck, je ne suis guère étonné, m'enfin utiliser Gandhi pour légitimer la violence contre le terrorisme et par là même la violence tout court et la légitimité d'actions illégales, je suis resté coi. J'ai un souvenir assez vague de l'agence tout risques, le côté non violent de Barracuda était présent ? Je me souviens plus... Par contre je suis déçu de pas avoir retrouvé les scènes de construction qui faisaient tout le charme de la série. Là on a deux pauvres scènes misérables qui semblent avoir été imposées par le cahier des charges (comme le fait, gratuit, de barracuda flippe des avions, ou le fameux camion de l'agence ici faisant juste un peu de figuration au début du film) et au final on se retrouve avec un film impersonnel, aux scènes d'actions soporifiques (mise à part la scène du tank, suffisament wtf pour tirer le spectateur de sa torpeur) et au scénario tellement nul...
THE GHOST WRITER
Une réalisation élégante, un scénario finement tricoté et des dialogues ciselés au poil, des acteurs tous impeccables et une BO efficace, le dernier Polanski m'a fait une très bonne impression. J'ai retrouvé ce que j'avais aimé dans La 9ème porte, même si j'ai du faire mon deuil du Polanski que j'adore depuis un bon moment. Encore que certains passages où le personnage de McGregor marche quasiment dans les pantoufles de son prédecesseur m'a rappelé le syndrôme Simone Choule...
Le thriller politique est bien vu, mais c'est là ma légère déception, retrouver Polanski sur un "simple" thriller à twist, même s'il est virtuose, je regrette que les obsessions du bonhomme qui rendait son cinéma si particulier aient laissé la place à un faiseur doué, mais au final un peu aseptisé.
Je le reverrai en espérant que connaitre l'intrigue m'indiquera des subtilités qui m'ont échappé à une première vision parfois anesthésiée par quelques moments de flottement.
J'avais pas reconnu Belushi, mais revoir Wallach m'a fait tellement plaisir !
Un très bon film, un des meilleurs Polanski depuis des années et des années, mais tout est relatif, on est quand même très loin de ses chefs d'oeuvres passés.
PS : par contre un autre plaisir gourmand fut de reconnaitre Martha's Vineyard, l'île où un certain Martin Brody fut Shérif dans les seventies...smile.gif
Lorsqu'Eli Wallach parle des courants qui n'auraient jamais pu ramener le corps sur la plage, j'ai pensé à cette chère Chrissie...
CANICULE
Canicule, ou la rencontre entre le cinéma américain et la réalité de la campagne française, entre un gangster hollywoodien plus vrai que nature (Lee Marvin, magnifique) et un panel de rednecks bouseux superbement campés par la fine fleur du ciné français pur souche (Lanoux, Carmet, Miou Miou, Lafont).
Canicule c'est donc ce gangster américain en fuite qui va se planquer dans la mauvaise ferme, ça aurait pu être le début d'un pur shocker horrifique, mais plutôt que de singer Massacre à la tonçonneuse (comme l'a fait bêtement FrontièreS par ex) Boisset sait que la France, son paysage typique (la Beauce) et ses habitants (des chouettes ploucs dégénérés qui n'ont rien à envier à leurs homologues texans) ont le potentiel suffisant pour trousser un thriller ahurissant.
Deux frères et une soeur, tous obsédés du cul (Lanoux sur Miou miou, Carmet au bordel et Laffont sur tout ce qui bouge), une femme obsédée par la vengeance (Miou miou) (le fascinant "gamin" du Tambour) et un gamin fasciné par le ciné US (il a une tof de Dean dans Géant et l'affichette de Il était une fois dans l'ouest accrochés dans sa chambre) qui revisite Malick (la fin de La Ballade Sauvage) et dont le comportement est plus que déviant... Il faut le voir claquer ses dollars avec des putes, boire un coup de gnole ou annoncer à Lee Marvin qu'il veut entrer dans la légende, et de quelle façon !
C'est superbement écrit (Audiard, comme d'hab quelques répliques font mouche, le reste est admirablement tricoté), bien réalisé et quelques scènes sont iconiques en diable, comme celle justement magnifiée par l'affiche, d'un Lee Marvin en costard courant dans un champ de blé.
Que s'est il passé ces quarante dernières années pour que le cinéma de genre français qui n'avait rien à envier à son homologue yankee soit depuis tombé si bas ? Violent (des morts en pagaille, assassinats au flingue, à la grenade, étranglement, un suicide, des viols...) et déviant (il faut voir Miou Miou se faire chier pendant qu'elle se fait besogner par Lanoux, ou la même se tripotant en écoutant Laffont se frotter, les seins à l'air, à Lee Marvin attaché dans une grange, le gamin qui fourre des billets entre les nibards opulents d'une pute...) Canicule c'est un paquet de nostalgie et une sacrée baffe dans la gueule de ceux qui pensent faire du cinéma "radical" ou "choquant" aujourd'hui !
BLEEDER
C'était le seul Winding Refn que je n'avais pas vu. Pour faire simple, comme tout le monde je suis un fan de la trilogie Pusher, enfin surtout des volets 2 et 3. Inside Job m'avait paru un exercice de style brillant mais un peu vain. Puis Bronson un peu pareil... Puis Valhlala Rising m'avait scotché et hypnotisé même si j'y fait un peu le même reproche qu'aux autres films de sa filmo...
Donc Bleeder, servi par les acteurs de Pusher (le héros du premier, Mads Mikkelsen, le mafieux du 3) dans un film très Kevin Smith : deux branleurs travaillant dans un video club, leur pote qui devient papa et qui kiffe pas trop, son beau frère raciste et portier de boite de nuit, leur pérégrination à tous jusqu'à la chute. Ca aurait pu être une comédie, certains passages semblent sortis de Clerks, en plus érudit puisqu'on se tripote pas sur la guerre des etoiles et le seigneur des anneaux mais sur Seagal et Fred Williamson ! Mads a un appart qui ressemblait à mon studio, avec les mêmes affiches, on se sent un peu chez soi. Le film avance tranquillement vers son dénouement fatal, parfois sublime, parfois un peu chiant. Il reste proche du style du premier Pusher et on sent qu'il manque de la substance à tout ça... Au bout de 7 films, ça semble être un peu sa marque de fabrique, virtuose, mais manquant de substance. Un génie qui n'aurait rien à dire ?
Sinon j'ai cherché ses autres films, mais pour l'instant j'ai rien trouvé. Il y a un coffret DVD avec quelques uns de ses longs, mais il est hors de prix. Un pote qui l'a m'a dit que l'investissement était quand même pas mal vu qu'avec les films t'as des docs qui te remettent les trucs dans le contexte et te file des pistes, son cinéma expérimental n'étant pas toujours des plus clairs.
Pour l'instant j'en ai vu qu'un, c'est DES TROUS DANS LA TETE, avec Giole, et on avait pris une sacrée claque au cinéma !
Il faut lancer un Guy Maddin contest dont le but est de pécho le plus de films et de st fr !
Pour le coup je colle sa race ici, il a l'air tellement affable

Sinon ces derniers jours j'ai vu :
L'AGENCE TOUT RISQUE
Eh ben c'était complètement nul. Entre l'histoire toute pourrie et le cast tout nul, les scènes d'action réussissent l'exploit d'être mal branlées et donnent l'impression d'un budget famélique. Alors que ce soit aussi très con, très patriote et très redneck, je ne suis guère étonné, m'enfin utiliser Gandhi pour légitimer la violence contre le terrorisme et par là même la violence tout court et la légitimité d'actions illégales, je suis resté coi. J'ai un souvenir assez vague de l'agence tout risques, le côté non violent de Barracuda était présent ? Je me souviens plus... Par contre je suis déçu de pas avoir retrouvé les scènes de construction qui faisaient tout le charme de la série. Là on a deux pauvres scènes misérables qui semblent avoir été imposées par le cahier des charges (comme le fait, gratuit, de barracuda flippe des avions, ou le fameux camion de l'agence ici faisant juste un peu de figuration au début du film) et au final on se retrouve avec un film impersonnel, aux scènes d'actions soporifiques (mise à part la scène du tank, suffisament wtf pour tirer le spectateur de sa torpeur) et au scénario tellement nul...
THE GHOST WRITER
Une réalisation élégante, un scénario finement tricoté et des dialogues ciselés au poil, des acteurs tous impeccables et une BO efficace, le dernier Polanski m'a fait une très bonne impression. J'ai retrouvé ce que j'avais aimé dans La 9ème porte, même si j'ai du faire mon deuil du Polanski que j'adore depuis un bon moment. Encore que certains passages où le personnage de McGregor marche quasiment dans les pantoufles de son prédecesseur m'a rappelé le syndrôme Simone Choule...
Le thriller politique est bien vu, mais c'est là ma légère déception, retrouver Polanski sur un "simple" thriller à twist, même s'il est virtuose, je regrette que les obsessions du bonhomme qui rendait son cinéma si particulier aient laissé la place à un faiseur doué, mais au final un peu aseptisé.
Je le reverrai en espérant que connaitre l'intrigue m'indiquera des subtilités qui m'ont échappé à une première vision parfois anesthésiée par quelques moments de flottement.
J'avais pas reconnu Belushi, mais revoir Wallach m'a fait tellement plaisir !
Un très bon film, un des meilleurs Polanski depuis des années et des années, mais tout est relatif, on est quand même très loin de ses chefs d'oeuvres passés.
PS : par contre un autre plaisir gourmand fut de reconnaitre Martha's Vineyard, l'île où un certain Martin Brody fut Shérif dans les seventies...smile.gif
Lorsqu'Eli Wallach parle des courants qui n'auraient jamais pu ramener le corps sur la plage, j'ai pensé à cette chère Chrissie...
CANICULE
Canicule, ou la rencontre entre le cinéma américain et la réalité de la campagne française, entre un gangster hollywoodien plus vrai que nature (Lee Marvin, magnifique) et un panel de rednecks bouseux superbement campés par la fine fleur du ciné français pur souche (Lanoux, Carmet, Miou Miou, Lafont).
Canicule c'est donc ce gangster américain en fuite qui va se planquer dans la mauvaise ferme, ça aurait pu être le début d'un pur shocker horrifique, mais plutôt que de singer Massacre à la tonçonneuse (comme l'a fait bêtement FrontièreS par ex) Boisset sait que la France, son paysage typique (la Beauce) et ses habitants (des chouettes ploucs dégénérés qui n'ont rien à envier à leurs homologues texans) ont le potentiel suffisant pour trousser un thriller ahurissant.
Deux frères et une soeur, tous obsédés du cul (Lanoux sur Miou miou, Carmet au bordel et Laffont sur tout ce qui bouge), une femme obsédée par la vengeance (Miou miou) (le fascinant "gamin" du Tambour) et un gamin fasciné par le ciné US (il a une tof de Dean dans Géant et l'affichette de Il était une fois dans l'ouest accrochés dans sa chambre) qui revisite Malick (la fin de La Ballade Sauvage) et dont le comportement est plus que déviant... Il faut le voir claquer ses dollars avec des putes, boire un coup de gnole ou annoncer à Lee Marvin qu'il veut entrer dans la légende, et de quelle façon !
C'est superbement écrit (Audiard, comme d'hab quelques répliques font mouche, le reste est admirablement tricoté), bien réalisé et quelques scènes sont iconiques en diable, comme celle justement magnifiée par l'affiche, d'un Lee Marvin en costard courant dans un champ de blé.
Que s'est il passé ces quarante dernières années pour que le cinéma de genre français qui n'avait rien à envier à son homologue yankee soit depuis tombé si bas ? Violent (des morts en pagaille, assassinats au flingue, à la grenade, étranglement, un suicide, des viols...) et déviant (il faut voir Miou Miou se faire chier pendant qu'elle se fait besogner par Lanoux, ou la même se tripotant en écoutant Laffont se frotter, les seins à l'air, à Lee Marvin attaché dans une grange, le gamin qui fourre des billets entre les nibards opulents d'une pute...) Canicule c'est un paquet de nostalgie et une sacrée baffe dans la gueule de ceux qui pensent faire du cinéma "radical" ou "choquant" aujourd'hui !
BLEEDER
C'était le seul Winding Refn que je n'avais pas vu. Pour faire simple, comme tout le monde je suis un fan de la trilogie Pusher, enfin surtout des volets 2 et 3. Inside Job m'avait paru un exercice de style brillant mais un peu vain. Puis Bronson un peu pareil... Puis Valhlala Rising m'avait scotché et hypnotisé même si j'y fait un peu le même reproche qu'aux autres films de sa filmo...
Donc Bleeder, servi par les acteurs de Pusher (le héros du premier, Mads Mikkelsen, le mafieux du 3) dans un film très Kevin Smith : deux branleurs travaillant dans un video club, leur pote qui devient papa et qui kiffe pas trop, son beau frère raciste et portier de boite de nuit, leur pérégrination à tous jusqu'à la chute. Ca aurait pu être une comédie, certains passages semblent sortis de Clerks, en plus érudit puisqu'on se tripote pas sur la guerre des etoiles et le seigneur des anneaux mais sur Seagal et Fred Williamson ! Mads a un appart qui ressemblait à mon studio, avec les mêmes affiches, on se sent un peu chez soi. Le film avance tranquillement vers son dénouement fatal, parfois sublime, parfois un peu chiant. Il reste proche du style du premier Pusher et on sent qu'il manque de la substance à tout ça... Au bout de 7 films, ça semble être un peu sa marque de fabrique, virtuose, mais manquant de substance. Un génie qui n'aurait rien à dire ?
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
bin demande à ton pote de ripper le coffret!!Il faut lancer un Guy Maddin contest dont le but est de pécho le plus de films et de st fr !

le truc chelou c'est qu'on trouve plein de st en espagnol! comme si ses films étaient connus et distribués là bas!
J'ai trop hâte de voir winnipeg mon amour, parce que je vais aller là bas cet hiver, faut trop que je le matte avant!!
hein?
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
je regrette que les obsessions du bonhomme qui rendait son cinéma si particulier aient laissé la place à un faiseur doué, mais au final un peu aseptisé.
Euh oui effectivement, pas grand chose à voir avec Rosemary's Baby ou Répulsion. D'ailleurs en voyant The Gohst writer pas très longtemps après Shutter Island, le côté formaté des deux films m'a sauté aux yeux. Parce que Scorcese c'est pareil, ses films récents n'ont pas grand-chose à voir avec l'ambiance et les idées esthétiques de films comme Taxi driver ou After Hours. Pour moi ces deux films niveau mise en scène ils sont presque interchangeables, on ne sent pas de vraie signature. Et ces cinéastes ne sont plus que de bons "fabricateurs" de films (les scénar se tiennent, les plans sont propres, certes), ils ont tout perdu de leur style... Trop sages ! (ou cyniques ?)
- melvinjunko
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
ah c'est donc avec toi que j'en avais parlé l'autre jour, parce que je me souvenais plus qui m'avait dit que le film était "sans style"... Je trouve ça quand même vachement moins mauvais que les scorcese. Et je sais pas, si j'avais pas su que c'était du polanski est ce que j'aurai retrouvé ce côté 9ème porte ou ce petit passage Locataire ? Je sais pas...
- melvinjunko
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
aaaah sale batard t'en as de la chance !J'ai trop hâte de voir winnipeg mon amour, parce que je vais aller là bas cet hiver, faut trop que je le matte avant!!
quand à ripper le coffret, oué, je connais pas de gens qui savent ripper proprement des dvds... mais si tu connais une technique facile, je me ferais un plaisir de lui communiquer !
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
pourquoi tu connais winnipeg? je bouge là bas pour prendre le train jusqu'à churchill, c'est bien au nord du canada. et à cette époque, la baie se reglace, et les ours blancs arrivent en masse pour aller grailler du phoque à gogo après l'été passé à manger des baies. ici c'est vraiment rude de bouger hors des villes l'hiver, mais je veux pas louper ça!!melvinjunko a écrit :aaaah sale batard t'en as de la chance !J'ai trop hâte de voir winnipeg mon amour, parce que je vais aller là bas cet hiver, faut trop que je le matte avant!!
quand à ripper le coffret, oué, je connais pas de gens qui savent ripper proprement des dvds... mais si tu connais une technique facile, je me ferais un plaisir de lui communiquer !
sinon, non, j'ai jamais rippé de dvd, j'y connais queud... sinon je crois que j'ai trouvé DES TROUS DANS LA TÊTE et DRACULA, JOURNAL DU D'UNE VIERGE en vost... je te confirme quand je les ai reçu...
hein?
Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Je ne l'ai pas trouvé si mauvais que ça. Je l'ai trouvé un peu lourd parfois, plutôt au niveau du récit. Mais je trouve qu'il y a du rythme dans ce film, des plans intéressants qui jouent sur le hors-champ, les corps coupés par le cadre, etc. Je trouve que le malaise émane surtout du montage et pas du tout de "scènes-choc" (contrairement aux plus mauvais films de Larry Clark par exemple), ce qui reste assez rare. Pour moi c'est un film un peu maladroit, pas tout à fait à la hauteur de son sujet, mais pas filmé de façon trop démonstrative, pas cadré n'importe comment (je ne savais pas du tout ce que c'était avant de le voir, je croyais que ce serait un film d'horreur ou fantastique et je sais pas pourquoi je m'attendais à un truc assez banal, mais dès le deuxième plan je me suis dit "bon ça va, ça sera pas un navet en tout cas" !).Arf, je l'ai loué et maté au projecteur y a un mois ou deux, j'ai trouvé ça très mauvais, surjoué, sous monté,ça se la pète "cinéma d'auteur qui fait des plans sequences d'inceste pour être déroutant avec naturel". Oui. On dirait du François Ozon dans ses pires errances. c'est dire.
très déçu par ce truc, duquel j'attendais un petit peu plus qu'une branlette pénible...
Ah... maintenant que tu le dis je me rappelle de ce moment de la conversation !! :-)ah c'est donc avec toi que j'en avais parlé l'autre jour, parce que je me souvenais plus qui m'avait dit que le film était "sans style"...
- melvinjunko
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Re: Le CINEMA c'est de la DYNAMITE ! Quatrième !
Non je connais pas Winnipeg, mais c'est la ville natale et le QG de Maddin, rien que pour ça avec Giole on s'est mis en tête de tourner des courts métrages pour espèrer un jour être sélectionné au festival de courts metrage de Winnipeg !magicraph a écrit :pourquoi tu connais winnipeg? je bouge là bas pour prendre le train jusqu'à churchill, c'est bien au nord du canada. et à cette époque, la baie se reglace, et les ours blancs arrivent en masse pour aller grailler du phoque à gogo après l'été passé à manger des baies. ici c'est vraiment rude de bouger hors des villes l'hiver, mais je veux pas louper ça!!melvinjunko a écrit :aaaah sale batard t'en as de la chance !J'ai trop hâte de voir winnipeg mon amour, parce que je vais aller là bas cet hiver, faut trop que je le matte avant!!
quand à ripper le coffret, oué, je connais pas de gens qui savent ripper proprement des dvds... mais si tu connais une technique facile, je me ferais un plaisir de lui communiquer !
sinon, non, j'ai jamais rippé de dvd, j'y connais queud... sinon je crois que j'ai trouvé DES TROUS DANS LA TÊTE et DRACULA, JOURNAL DU D'UNE VIERGE en vost... je te confirme quand je les ai reçu...

En tous cas ton voyage a l'air plus qu'alléchant !

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