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Eh y en a un plus malin qui se sent observé là on dirait.

C'est quoi comme faucons ? Des pélerins ?

Edit : Je viens de voir un des parents, ça semble pas être un pélerin, mais plutôt un crécerelle.

un faucon pélerin en ville ca serait de l'incroyable, surtout dans une caisse en bois, je serai plus d'accord avec toi sur le crècerelle.
ca me rapelle que dans le patelin de mes renps, y en a un qui porte le nom de mon père car lorsqu'il l'ont bagué, un gosse voulais qu'on l'appelle comme lui, il y a donc un faucon crècerelle qui s'appelle hervé.

je comprends pas non plus, le pélerin n'est pas un fan des lieux surpeuplé, et pour ce qui est des pigeons morts, les pélerin n'attaque que les vivants, de plus il est plus que prouvé que pour régularisé la population des rats à ailes, et pour éviter la propagation de maladie et de malformation, il faut faire confiance au colombophile.

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c'etait pas un rat mais une souris ou alors un tout petit rat. le pere doit etre en train de chasser, je pense.

La mère vient de leurs apporter une souris, mais je me demande si d'une fois sur l'autre elle donne à manger aux mêmes oisillons ou si elles se souvient lesquels elle n'a pas encore nourris?

edit: on a tous posté en même temps là.

à voir lequel à mangé la souris, je me dis quel doit en oublier quelque fois, j'ai remarqué qu'elle a essayé de le partagé jusqu'au moment ou le gros est arrivé.
je suis pas trop au fait du crècerelle mais il me semble que le père reste jusqu'au départ des petits, il chasse ensemble en général, ils s'envoient d'ailleurs les proies en plein vol, toujours impressionnant et j'ai eu la chance de le voir sur des buses plusieurs fois, et une fois sur un faucon pèlerin.

Norma Bates a écrit :La mère vient de leurs apporter une souris, mais je me demande si d'une fois sur l'autre elle donne à manger aux mêmes oisillons ou si elles se souvient lesquels elle n'a pas encore nourris?

Si je me trompe pas, les parents oiseaux en général nourrissent ceux de leur petits qui gueulent le plus fort. Il arrive souvent que le dernier de la couvée, plus faible que les autres, ne soit quasiment pas nourri, et finisse même par mourir.