maoisme/facisme et violence antifaciste
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Parceque toi tu fais la révolution tout seul. A non, pardon! avec tes potes (qui pensent comme toi), c'est vrai!Noir Vomi a écrit :c'est juste bon pour ceux/celles qui peuvent pas s'exprimer autrement qu'en adhérant à un bon gros mouvement de masse.
Et toi tu fais comment pour permettre aux individus de s'émanciper?Noir Vomi a écrit : Y'a rien à en tirer, avec ce genre d'approche totalement formelle de la liberté ils/elles permettront jamais aux individu-e-s de s'émanciper
Ca sert à rien d'cracher sur ceux qu'essaient de faire des choses. Ca m'fait bizarre de défendre la CNT-AIT, mais au moins ils essaient, et personne n'a la science infuse. Alors si t'a une méthode miracle pour détruire le capitalisme, ou quelquechose de mieux que ce qu'ils font à proposer, ben vas leur dire, pis à nous aussi pendant qu't'y est!
Vas-y, explique à moi, abruti soumis normophile et autoritaire(puisqu'adhérent à une organisation qui agit dans la masse), ta méthode pour libérer les opprimés.
Ils pensent que nous sommes un groupe de communistes !
heu...bloque ca reste a prouver, je connais qu'un truc qui s'appele comme ca, c'est une interview audio d'une temoi, qui se souviens donc effectivement...Noir Vomi a écrit : bloqué-e à un douteux "souviens-toi de 36" (comme d'autres nous diraient "souviens-toi en 40, c'était le bon vieux temps...")
exact. il est d'aillerus facile de savoir a toulouse qui a participe aux marches sur la prison et qui trouvait ca trop beauf heheNoir Vomi a écrit : et en se construisant comme ça une légitimité, mais bon le temps s'arrête pas là et les formes de la "lutte" non plus.
tout a fait d'accord. a ce propos je te recommande ces deux textesNoir Vomi a écrit :J'emmerde la CNT-AIT de A à Z, pour moi ce sont des incarnations parmi d'autres des ennemi-e-s de ma conception de l'anarchie. Des drapeaux et des gens qui marchent derrière rituellement en gueulant toujours les mêmes slogans qui les empêchent de réfléchir et de comprendre ce qui se cache derrière le slogan. Qu'on m'explique le lien avec l'anarchie.
http://cnt-ait.info/article.php3?id_article=1114" onclick="window.open(this.href);return false;
http://cnt-ait.info/article.php3?id_article=830" onclick="window.open(this.href);return false;
malheureusement tous ces abrutis de specistes qui travaillent comme des cons qu'ils sont ne savent pas qui est bakounine, pouget ou guesde (sont betes hein ? a croire qu'il y a des gens qui ne sont pas alles au lyceeNoir Vomi a écrit :Il suffit de lire ce qu'ils/elles font paraître pour le comprendre. C'est que du folklore à la con, leur récent texte "Techniques de lutte" c'est à se pisser dessus, à croire que ça a été écrit par un lycéen qui vient de découvrir Bakounine, Pouget ou Guesde.

ou ca ? tu confonds pas la ?Noir Vomi a écrit :Et putain, leurs défilés à la con, avec leurs pauvres drapeaux de merde et leurs autocollants,
aucun. enfin bon ca sert a sortir les vieux copains de l'hospice une fois l'an... rha ils nous font chier ces vieux si en plus faut s'en occuper,, faut mieux finir de les enterrer !Noir Vomi a écrit :. C'est quoi le but, faire des 14 juillet "anarchistes" ?
enfin c'est vrai, ca a pas plus d'interet que n'importe quel concert, je suis tout a fait d'accord la dessus.
oui. Bon par exemple l'an dernier ils ont participe a sortir 4 personnes de taule, mais c'est vrai qu'apres ils les ont laisse dans leur merde consensuelle de leur sale chez eux de sales pauvres sans meme leur filer un tract sur l'amour libreNoir Vomi a écrit :Y'a rien à en tirer, avec ce genre d'approche totalement formelle de la liberté ils/elles permettront jamais aux individu-e-s de s'émanciper, au contraire ils/elles les laissent dans la merde consensuelle, normée et figée où ils sont déjà, une merde bien noire.



c'est clair, comme les bouffons a Oaxaca qui essayent de rejouer le mythe de la greve generale populaire et insurectionnellec'est l'institutionnalisation de la révolution qu'ils/elles font, en la confinant à des formes mortes, abstraites et clichés



Excellente et inattendue cette ironie. Vraiment. Enfin ne te fais pas plus bête que tu ne l'es, j'ai précisé ne pas rejeter par principe les formes de lutte auxquelles vous adhérez. Dans certains domaines (libération animale, prisons, sans papiers etc) c'est même impératif. Alors pas la peine de grossir le trait à chaque fois, c'est une façon d'envisager le débat qui me laisse perplexe.
Géro : les questions que tu me poses me prouvent (si besoin était de le faire) que t'as pas bien compris où je voulais en venir. Parce que je m'octroie un droit à la critique, il faudrait que forcément moi aussi je propose quelque chose, quelque chose de comparable ou qui pourrait remplacer ce que je dénonce ? Ben non, je vais même pas te répondre. Je critique si j'en ai envie, pour les raisons exposées au dessus, sans même faire état de mon CV ou de mes publications. Point. Je suis surpris que tu me répondes pour me balancer ça. Tu m'en dis pas grand chose, à part "trop de la merde, tu proposes quoi toi grande gueule ?". Mais critiquer me semble déjà un bon départ. Je savais pas qu'il fallait contre-balancer ça par quelque chose. Si je le faisais, je rentrerais dans le cadre de ce que je dénonce, donc bon. Dilemme.
Si tu avais lu mon message, tu verrais que moi, je n'ai rien à proposer, en tant que proposition. Ça ne me concerne même pas. Je m'exprime à titre personnel, anonymement en plus, non en tant que porte-parole ou messie. Je n'ai pas de "programme révolutionnaire" parce que je ne crois pas en cette révolution ni au concept de "programme" ou d'ordres implicites donnés à autrui. Alors je suis bien gêné. Et surtout, je ne "cherche pas à émanciper" les individu-e-s.
Je ne prétends pas pouvoir m'émanciper moi même. Alors je ne vois pas ce que je pourrais dire aux autres. A part dire : moi j'aime pas les défilés d'hommes-sandwich. J'aime pas les drapeaux, peu importe leurs couleurs. J'aime pas les slogans. Etc. Je ne fais rien d'autre et mon message n'avait pas d'autres finalités. Surtout ne pense pas que je "propose" de ce fait quelque chose, ou que j'essaie d'imposer de nouvelles normes.
Géro : les questions que tu me poses me prouvent (si besoin était de le faire) que t'as pas bien compris où je voulais en venir. Parce que je m'octroie un droit à la critique, il faudrait que forcément moi aussi je propose quelque chose, quelque chose de comparable ou qui pourrait remplacer ce que je dénonce ? Ben non, je vais même pas te répondre. Je critique si j'en ai envie, pour les raisons exposées au dessus, sans même faire état de mon CV ou de mes publications. Point. Je suis surpris que tu me répondes pour me balancer ça. Tu m'en dis pas grand chose, à part "trop de la merde, tu proposes quoi toi grande gueule ?". Mais critiquer me semble déjà un bon départ. Je savais pas qu'il fallait contre-balancer ça par quelque chose. Si je le faisais, je rentrerais dans le cadre de ce que je dénonce, donc bon. Dilemme.
Si tu avais lu mon message, tu verrais que moi, je n'ai rien à proposer, en tant que proposition. Ça ne me concerne même pas. Je m'exprime à titre personnel, anonymement en plus, non en tant que porte-parole ou messie. Je n'ai pas de "programme révolutionnaire" parce que je ne crois pas en cette révolution ni au concept de "programme" ou d'ordres implicites donnés à autrui. Alors je suis bien gêné. Et surtout, je ne "cherche pas à émanciper" les individu-e-s.
Je ne prétends pas pouvoir m'émanciper moi même. Alors je ne vois pas ce que je pourrais dire aux autres. A part dire : moi j'aime pas les défilés d'hommes-sandwich. J'aime pas les drapeaux, peu importe leurs couleurs. J'aime pas les slogans. Etc. Je ne fais rien d'autre et mon message n'avait pas d'autres finalités. Surtout ne pense pas que je "propose" de ce fait quelque chose, ou que j'essaie d'imposer de nouvelles normes.
Ouf
Pfiou, ben dis donc, quel tôlé ces posts. :) Pour résumer je disais simplement que je parlais de se changer soi, avant de changer le monde. "Changer le monde" me semble au contraire un but poursuivi par les théories classiques de la révolution, en tous les cas ce n'est pas le mien du fait d'une trop grande abstraction.

Pfiou, ben dis donc, quel tôlé ces posts. :) Pour résumer je disais simplement que je parlais de se changer soi, avant de changer le monde. "Changer le monde" me semble au contraire un but poursuivi par les théories classiques de la révolution, en tous les cas ce n'est pas le mien du fait d'une trop grande abstraction.
Oui oui, la révolution est intérieure, la révolution dans sa tête... je vais te dire, je crève pas la dalle, j'ai un toit, de l'argent de poche, j'ai les capacités intellectuelles pour faire des études d'histoire et avoir un métier qui me fournira un salaire supérieur au smic quoique pas beaucoup plus large, pourquoi je ferai la révolution moi ? Pourtant je veux la faire, étrange. Et pas dans ma tête ! Pour tous.Pour résumer je disais simplement que je parlais de se changer soi, avant de changer le monde.
"Nous considérons les fins inséparables des moyens, parce que les méthodes de lutte laissent déjà entrevoir la vie pour laquelle nous nous battons".
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