ca laisse rêveur...lefigaro a écrit :
«Martinon, non, non.» Ce slogan doit encore raisonner aux oreilles de David Martinon comme un désaveu cruel. Pour ce «techno» qui, à 36 ans, rêvait de rejoindre les grands fauves dans l'arène de la politique, le coup est dur. Nicolas Sarkozy l'avait pourtant désigné comme son dauphin, il y a trois mois. Le chef de l'État, qui n'arrivait pas à trouver de successeur depuis son départ en 2002, espérait que le jeune «Sarkoboy» séduirait les Neuilléens.
[...]
Très tôt engagé dans la famille libérale, Martinon s'était détourné peu à peu d'un discours qui ne fait pas recette en France. «Sarkozy m'a guéri de mon libéralisme théocratique !», aimait expliquer celui qui se définissait récemment comme dépendant de Sarkozy, «une drogue dure à accoutumance immédiate». Grand amateur de musique, cet ex-fan de Trust, énarque, diplomate de carrière, reste pour le moment porte-parole de l'Élysée.
Le dernier titre de Trust : "Sarkoland" n'a pas plu et depuis Martinon est devenu un "ex-fan"...
Celà dit, à l'époque, c'etait peut-etre le côté anti coco de Trust qui a fait mouche :
le RAC attire toujours autant les mouches !Dialogue de sourds a écrit : Dans ce régime démocratique
Toute pensée est dite automatique
Du printemps de Prague à l'heure du Goulag
On t'apprend liberté en t'éduquant à coups de chlague
