Les profs de la majorité des facs française ont décidés en CA de se mobiliser contre le premier decret d'application de la LRU, et même si evidement il est dommage que ces derniers ne se soit pas maniféstés au moment du premier mouvement (ou n'aient que très peu soutenus la contestation du texte), qui dénoncée déja les consequences desastreuses de la loi sur le statut des enseignants chercheurs : le decret ne viens en effet que formaliser (c'est le role d'un decret d'application) les ambitions de la LRU et pour ma fac par exemple c'est d'autant plus deplorable qu'en tant que juristes les profs n'aient pas saisies les reformes structurelle de fond que prévoyait le texte (juridique). Tout comme les profs economistes n'ont pas denoncés plus que ça ce qui n'est autre qu'une privatisation de la fac. Pourtant aujourd'hui leur statut etant en jeu tous sont mobilisés et unis, et mettent de côté leurs eventuelles penchant partisans pour ce gouvernement, même si on peu regretter que les revendications ne concerne dès lors que ce decret portant sur le statut des profs, sans dénoncer les autres points de la LRU qui sont catasrophiques pour les autres acteurs de l'université (personel iatos, d'entretient, étudiant etc..).
Les profs parlent de transformation de la fac en entreprises on ne va pas les contredire et à terme d'une vocation de la loi à ce que les etudiant deviènnent des clients, bref exactement les même termes employés dès les premières contestations anti-LRU.
Bref il est evidement indispensable de soutenire les profs, de recomencer à expliquer aux élèves sceptiques ou tout simplement pas au courant le contenue de la loi et ses obkectifs, pourquoi ce decret comme la lru dans son enssemble doit absolument être abrogé, au profit d'une veritable reforme universitaire retablissant et ameliorant sa vocation de service publique. Il faut aussi prendre la parole en AG (il i en a actuellement dans toutes les facs concérnées par le mouvement), en discuter, et favoriser toutes initiatives visant à renforcer le front anti LRU, sans oublier bien sur la manife de jeudi.
Les mesures les plus importantes deja adoptées par la coordination des facs mobilisées, la retention des notes est effective jusqu'a la suppression du decret (sauf erasmus), le blocage de tous les conseils centraux : CA, CS, CEVU le but etant de bloquer administrativement les facs. La fermeture illimité des facs à partire du 2/02 si n'est pas retiré le decret ansi que la réforme de la formation et des concours de recrutement des enseignants du premier et du second degré.
Citation:
PLATEFORME DE REVENDICATIONS TELLE QU ADOPTEE JEUDI 22 JANVIER PAR LA COORDINATION NATIONALE:
*La coordination nationale des universités a réuni le 22 janvier 2009 des délégués provenant de quarante six universités. Elle a voté les motions suivantes :
*Motion n°1* :
La coordination nationale réunissant ce jeudi 22 janvier 2009 condamne la mise en place d’une politique d’affaiblissement structurel de l’enseignement et de la recherche, la précarisation des personnels de toutes catégories, notamment au travers de l’individualisation des carrières, de la mise en place du nouveau contrat doctoral et des suppression d’emplois, exige le rétablissement des postes supprimés, un plan pluriannuel de création d’emplois statutaires dans les universités et les grands organismes de recherche, et soutient les mobilisations en cours.
Elle déclare que si le ministère ne retire pas, sans préalable :
1) le projet de décret sur le statut des enseignants-chercheurs
2) la réforme de la formation et des concours de recrutement des enseignants du premier et du second degré
l’université française se mettra en grève totale, reconductible et illimitée : le 2 février 2009 l’université s’arrête.
Unanimité moins 3 voix contre
*Motion n°2* :
La coordination nationale a également voté l’appel immédiat à la rétention des notes, la non transmission des maquettes de formation des enseignants du premier et du second cycle et le soutien aux mouvements
> de grève qui ont déjà commencé ainsi que l’appel au renforcement de la mobilisation dans tous les établissements.