Yep, je viens de te l'envoyer par mailChéri-Bibi a écrit : ↑05 déc. 2023 23:38Renvoie-moi ton adresse, please, mon Alex, que je t'envoie le ChériBibi 13 (si c'est pas déjà fait... La mémoire, c'est plus ce que c'était).

Yep, je viens de te l'envoyer par mailChéri-Bibi a écrit : ↑05 déc. 2023 23:38Renvoie-moi ton adresse, please, mon Alex, que je t'envoie le ChériBibi 13 (si c'est pas déjà fait... La mémoire, c'est plus ce que c'était).
À noter dans ce même numéro, un chouette texte actuel de Raoul Vaneigem :Partant du constat désespéré de Mark Fisher dans son livre Le réalisme capitaliste, le fanzineur et romancier Alex Ratcharge dresse dans le texte qui suit un bilan plein d’espoir après plusieurs décennies d’activisme punk radical. La contre-culture des années 1960 a peut-être dû abandonner pas mal de terrain au capitalisme, elle n’en a pas moins semé des graines qui ont germé dans diverses scènes et particulièrement celle du punk. Alex Ratcharge nous parle d’organisation de concerts « à l’arrache », d’une « punk poste » qui fait transiter gratuitement les disques et les fanzines à travers la planète, de lieux partagés avec des associations, de fêtes dans des squats, et même d’un épisode de guerilla urbaine. Il rapproche ainsi le punk radical d’une société parallèle qui pave la voie pour la convergence entre « la conscience de classe, la conscience psychédélique, et les processus de conscientisation des groupes minoritaires et opprimés » pensée par Mark Fisher à la fin de sa vie. Voici la première des 3 parties de ce texte, d’abord publié dans le numéro 19 de l’excellente revue papier Audimat.
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