dans l'absolu y a rien qui pose de problème, c'est juste un choix de pas vouloir forcément être archivé par la bnf, le ministeur de l'intérière etc… vu qu'on est déjà hors circuit autant l'être un maximum...
On est ok pour le premier bouquin et pour aujourd'hui. Après, pour la suite, le simple referencement bnf me pose pas de problèeme, à partir du moment ou le dépot légal est foutu d'office (en attendant d'être nos propres editeurs). Le circuit alternatif, c'est la base du projet. Un referencement (c'est bien de ça qu'il s'agit, non?) ne me dérange pas, même si je voudrais être mieux renseigné...
Bon et qu'as tu entendu alors à france ether?

Quelle percpicacité.
Bon, ça parlait de zic, mais c'était interessant DANS NOTRE CAS. Comment un collectif qui sortait des skeuds vendus pas cher, hors circuit, et qui ont commencé à grossir un peu tout en restant underground s'est fait tomber dessus par le fisc ou l'ursaf, ou les deux. J'ai pas capté tout les détails (j'étais au taf), mais ils se font vraiment grave emmerder. Et risquent assez gros.
Ne nous leuront pas, les inquisiteurs savent très bien qu'il n'y a pas eu d'argent détourné ou quoi que ce soit. Ils veulent "donner une leçon" à ceux qui n'ont pas envie de faire comme la loi du marché l'impose.
Je pense toujours qu'un parachute sous forme d'asso peut être envisageable, tout en restant sur notre longueur d'onde. Si on définit bien les statuts et qu'on les inscrit dans une idée de culture populaire, on est tranquile. Sachant que je ne veut rien remettre en cause dans la manière d'agir. Je m'en tape de ne pas être "hors la loi", mon but, c'est la culture pour tous hors d'une logique capitaliste et libérale. Une asso loi 1901 te laisse toute tes libertés, et peut être dans ce cas un garant de tes libertés. Dans son fonctionement, y a rien qui te foute les pieds dans le système. C'est la manière de fonctionner des gens dans le cadre de leur asso qui peut être blasant. Etre referencé? M'en fout. Tant mieux, presque.
"regardez, on existe, on le fait, c'est possible, tout le monde le peut".
Bon, à parler de vive voix...
Sinon pour le copyleft, en fait en france y a pas de copyright et pas de copyleft, c'est des trucs de la legislation des amériques je crois.
Ici pour protéger tes trucs, une des façons, c'est t'envoyer un recommandé avec tes trucs dedans que tu ouvres pas, et si y a un problème, tu prouves avec la date du truc que tu l'avais (fait) avant.
Pour la musique, ben c'est la SDRM, qui enregistre que tu as fait ça. Tu fais pas de fric avec mais on sait que c'est toi.
Sinon, y a des sortes d'agences ou tu payes et tu files un manuscrit et il te gardes tes droits au chaud pendant dix ans.
Je suis sure que c'est la solution qui te convient le mieux?
Ok.
Euh, ce qui me convient le mieux, c'est certainement pas payer une agence, mais j'imagine que tu ironisait...
Après, protéger contre les crapules, faut y penser...
Après tout le bordel de la propriété intellectuelle, en fait ça dit que tu as des droits sur ce que tu fait (te reste à prouver que c'est toi qui le fait), jusqu'à 50 ans après ta mort ( la classe, hein? en amérique ils essayent de passer à 25 ans mais walt disney flippe à mort que toutes leurs oeuvres partent dans le domaine public...)
au final tu mentionne ce que tu veux sur ce que tu sors (comme vous avez mis sur le cd des bimbo) et tu te dis qu'on est tellement brillant que de toute façons, y a pas non plus de grande chance que la pleiade te vole ton œuvre, au pire ça sera acratos qui te le voles...
et puis si y en a un qui fait ça quand même et bien on lui ouvres un parapluie dans le gosier qu'on ouvre en grand, on lui casse les genoux et on le chatouilles sans qui puisse s'enfuir (après faudra aussi acheter les magistrats, mais bon...)
...[/quote]
Je continue sur ma lancée: avec la dlp, on sort le roman d'un mec très talentueux qui est dans l'etat d'esprit de la difusion populaire, ou qui veut au moins y participer pour une oeuvre. Plein de gens kiffent le truc, telechargent le book, se le procurent, ça fait un peu causer. Un mec profite du truc pour le sortir à l'étranger avec des fins commerciales. Je sais pas si c'est possible, dans quelle mesure, mais c'est des trucs à pas négliger. Y a une chance sur dix mille qu'un tel truc arrive. MAIS il vaut mieux reflechir à de tels cas de figure...
De toute façon, tu as répondu à mon questionement par l'histoire de la propriété intelectuelle. Mais il faudra quand même se renseigner...